Rationnel (en 2159)
Ce n’est que vers 2040 grâce aux neurosciences et à la neuroanalyse naissante il a été possible d'expliquer complètement la conscience, l’abstraction et la logique dans les structures neuronales des humains. Les philosophes phénoménologues qui existaient encore à cette époque ont alors crié à la trahison.
Il faut savoir qu'au XX° et au début du XXI° siècle, on faisait encore la distinction entre rationnel et irrationnel car on connaissait mal les systèmes de perception qu’avaient les humains tant du monde extérieur que des autres humains. Par exemple on ne définissait les perceptions qu'à travers les sens externes: on n'en distinguait que cinq ou six pour percevoir la réalité extérieure ! On ne connaissait que par intuition et sans les expliquer les sens internes (qu'on appelait parfois intelligences multiples) tels que la conscience, l'abstraction, l'esthétique, le spiritualisme, la convivialité, le sens pratique et bien d'autres qui furent définis dans le courant du XXI°siècle.
On sait maintenant, en cette fin de XXII° siècle, que ce qu’on appelait rationnel et irrationnel, raison et sentiments ne sont que des combinaisons parmi d’autres de nos différents réseaux et connexions de neurones et que les frontières entre eux ne sont pas aussi nettes qu'on le pensait encore dans les années 2010-2020.
La connaissance de l’étroite imbrication entre le rationnel et l’irrationnel et d’autres systèmes de perception impossibles à décrire avec des mots de 2016, a été possible grâce aux neurosciences qui ont abouti à la mise au point de la neuroanalyse et l’ECB (voir ce thème) vers la fin du XXI°siècle. Les procédés d'interprétation (et non plus d'analyse) des grandes complexités utilisés en neuroanalyse nous permettent en 2159 de saisir la réalité avec une finesse malheureusement encore insuffisante.
La maitrise de nombreux systèmes de perception humaine inconnus au XXI° siècle nous permettent à présent de mieux connaître les pulsions (voir le thème plaisir) qui les font naître.
revu 20/7/16
Il faut savoir qu'au XX° et au début du XXI° siècle, on faisait encore la distinction entre rationnel et irrationnel car on connaissait mal les systèmes de perception qu’avaient les humains tant du monde extérieur que des autres humains. Par exemple on ne définissait les perceptions qu'à travers les sens externes: on n'en distinguait que cinq ou six pour percevoir la réalité extérieure ! On ne connaissait que par intuition et sans les expliquer les sens internes (qu'on appelait parfois intelligences multiples) tels que la conscience, l'abstraction, l'esthétique, le spiritualisme, la convivialité, le sens pratique et bien d'autres qui furent définis dans le courant du XXI°siècle.
On sait maintenant, en cette fin de XXII° siècle, que ce qu’on appelait rationnel et irrationnel, raison et sentiments ne sont que des combinaisons parmi d’autres de nos différents réseaux et connexions de neurones et que les frontières entre eux ne sont pas aussi nettes qu'on le pensait encore dans les années 2010-2020.
La connaissance de l’étroite imbrication entre le rationnel et l’irrationnel et d’autres systèmes de perception impossibles à décrire avec des mots de 2016, a été possible grâce aux neurosciences qui ont abouti à la mise au point de la neuroanalyse et l’ECB (voir ce thème) vers la fin du XXI°siècle. Les procédés d'interprétation (et non plus d'analyse) des grandes complexités utilisés en neuroanalyse nous permettent en 2159 de saisir la réalité avec une finesse malheureusement encore insuffisante.
La maitrise de nombreux systèmes de perception humaine inconnus au XXI° siècle nous permettent à présent de mieux connaître les pulsions (voir le thème plaisir) qui les font naître.
revu 20/7/16